CSTG
Chambre syndicale des taxis grenoblois

L' organisation grenobloise à la défense de la profession

et de ses adhérents.

Le règlement de la cotisation par virement est à privilégier (ne pas oublier votre nom) , voici le RIB du CSTG (grenoblois).

 

Si toutefois vous réglez par chèque, veuillez bien l'adresser au CSTG 73 rue Nicolas Chorier 38000 Grenoble 

 

ou le remettre à Adrien, chauffeur de taxi n° 55 ou Adrien chauffeur de taxi 95

Info - le 06/03/2024

 

Compte rendu de la réunion de ce jour :

 

Pour le mois de février 2024, la remise 2023 reste applicable, vous pouvez facturer comme habituellement. Les transports effectués en véhicule PMR peuvent appliquer la majoration de 30 €.

 

A partir du 1er mars :

 

-          Application de l’augmentation tarifaire 2024 

-          Remise de 16.66% pour le tarif A/B ( dont 4,69 %  et 12,56% )

-          Remise de 17.60% pour le tarif C/D ( dont 4,69 %  et 13,55% )

-          Application du nouveau minimum de perception, dans le cadre du tiers payant uniquement, 23 € remisé soit 28 € au compteur (exclusion en cas de règlement d’avance de frais par le client, sévèrement sanctionnable par la DDPP38)

-          Le transport partagé est organisé par le transporteur, une remise de 23% sur chaque facture pour le regroupement de 2 patients et 35% pour 3 patients, après remise de 17,60 % les trajets étant effectués en C/D.

 

Vous pouvez désormais signer la convention qui vous sera prochainement envoyée.

 

Les Infos du 20/01/2024 au 05/03/2024

 

Toutes les infos CPAM, VTC et mobilisations ont été envoyées directement par mail à nos adhérents.

 

Info - le 17/01/2024 

Meilleurs vœux pour 2024 !

En ce début d'année, je souhaite vous tenir informés de certains développements qui impactent notre profession.

*Procédure contre UBER pour concurrence déloyale :*
En première instance, nous avons été déboutés. Malgré cela, nous continuons en procédant à un renvoi en cour d’appel en espérant une autre issue.

*Convention CPAM :*
Le gouvernement a tenté un passage en force, court-circuitant toute négociation. Les syndicats n'ont pas signé l'extension conventionnelle tarifaire 2024. Notre mot d'ordre est de ne surtout pas signer. Cependant, à la suite de la réunion du 12 janvier, je confirme que la nouvelle convention quinquennale pour 2025 est en cours d'écriture. Quelques points essentiels :
- Le libre choix du patient pour son transporteur demeure.
- Le choix d'organisation du transport simultané reste à la discrétion de chaque entreprise.
- Aucune plate-forme ou établissement de santé ne peut vous imposer de grouper.

Restons mobilisés ! La partie n'est pas finie, et tout reste à faire...

Je vous remercie de régler rapidement vos cotisations 2024, formulaire et RIB ci-dessus.

Info - le 22/12/2023 

Ce lundi 18 décembre s’est tenu la commission paritaire locale, les représentants de la CPAM 38 nous ont présenté les conditions ci-dessous, de la proposition de l’UNCAM, assortie d’une simulation établie par nos soins pour en expliquer le mécanisme. La CNAM a présenté cette proposition à 85 caisses départementales en leur assurant qu’il y avait eu concertation et accord de nos représentant nationaux. Vue la désinformation générale, nous vous confirmons qu’aucune fédération nationale représentative de la profession n’a validé, ni signé la proposition de la caisse nationale concernant les tarifs 2024.

 

Les tarifs négociés localement au cours de l’année 2023 demeurent applicables dans l’attente des nouveaux tarifs, lesquels nécessitent la publication des arrêtés préfectoraux des tarifs 2024 et des taux d’évolution des dépenses de transport des CPAM entre 2022 et 2023.

Pour 2024, cette décision prévoit :

 

1°) Une indexation des tarifs de référence de l’Assurance Maladie sur l’augmentation des tarifs préfectoraux en 2024, avec un abattement de 30%.

2°) Un ajustement des taux de remises en fonction des taux d’évolution départementaux des dépenses remboursées entre 2022 et 2023, comme suit :

-aucune compensation (pas d’évolution des taux de remise) pour les départements dont le taux d’évolution des dépenses remboursées entre 2022 et 2023 est inférieur 3,5 % ;

-compensation à 50% (les remises compenseront l’augmentation des tarifs à hauteur de 50%) pour les départements dont le taux d’évolution des dépenses remboursées entre 2022 et 2023 est compris entre 3,5 et 7% ;

-compensation à 75% (les remises compenseront l’augmentation des tarifs à hauteur de 75%) pour les départements dont le taux d’évolution des dépenses remboursées entre 2022 et 2023 est supérieur à 7%.

 

Exemple : si l’augmentation des tarifs 2024 est fixée à 4,5 %

• Les tarifs de référence CPAM n’augmenteront que de 3,15 % (4,5 – 30 %)

• Concernant la remise :

- pour les départements dont le taux d’évolution des dépenses est inférieur 3,5 % : pas

d’évolution des taux de remise.

Au final hausse des tarifs de + 3,15%

- pour les départements dont le taux d’évolution des dépenses est compris entre 3,5 et 7% :

la remise moyenne augmente pour compenser l’augmentation des tarifs à hauteur de 50%.

Sur les 3,15 % d’augmentation, la moitié s’applique

Au final hausse des tarifs de + 1,57 % (3,15 /2)

- pour les départements dont le taux d’évolution des dépenses est supérieur à 7% : la remise

moyenne augmente pour compenser l’augmentation des tarifs à hauteur de 75%.

Sur les 31,5 % d’augmentation, 75 % sont neutralisés

Au final hausse des tarifs de + 0,79 % (3,15 – 75 %)

 

3°) Le supplément TPMR est revalorisé à 30 €.

 

_______________________

 

Les négociations concernant la convention 2025 débuteront courant 1er trimestre 2024.

Info - le 10/12/2023 

L’UNT appelle à une journée de mobilisation nationale le lundi 11 décembre 2023 contre l’article 30 de la loi de financement de la Sécurité Sociale pour 2024, lequel vise à généraliser le transport partagé des patients.

 

La mesure concerne uniquement les transports programmés (trajets itératifs et en série, tel que les trajets pour séance de dialyse ou les séances de rééducation) effectués en véhicules sanitaires légers et en taxis conventionnés. Elle prévoit que, lorsque le transport partagé est jugé compatible avec l’état de santé du patient et que le transporteur est en capacité de proposer un transport partagé au patient, si le patient le refuse, il devra faire l’avance des frais et ne sera remboursé par l’Assurance Maladie que sur la base du tarif d’un transport partagé et non sur celui d’un transport individuel, plus onéreux.

 

L’UNT voit dans cette mesure une volonté délibérée d’exclure définitivement les taxis du transport de patients sous prétexte d’économies et demande le retrait de cet article 30.

 

Si la FNAT est également attentive aux problèmes du respect des principes de libre choix du patient et des règles de la concurrence posés par cette réforme, elle n’a pas la même approche que l’UNT depuis le début de ce dossier.

 

Alors que l’UNT demande un retrait pur et simple de l’article 30, sans autre proposition, la FNAT, dans un travail commun avec la FNDT, a immédiatement engagé des actions auprès des ministères concernés et des parlementaires afin de faire évoluer les textes.

 

Nous considérons qu’il est vain de vouloir abroger cet article 30 et cette abrogation n’empêcherait pas les plateformes d’organiser les transports partagé, et ce sans les taxis.

 

Par ailleurs, l’actuelle article 6.8 de la convention nationale des taxis rappelle que le transport partagé est un mode de régulation intéressant tant pour l'assurance maladie que pour les taxis et qu’il convient donc de le promouvoir. Il prévoit « des actions auprès des établissements de santé, afin que ceux-ci mettent en place une organisation susceptible de favoriser le transport partagé comme les salons de sortie ou la commande de transports via une plateforme de centralisation de transport et de régulation des véhicules, sont menées par l'assurance maladie ainsi que des actions de communication auprès des assurés pour favoriser le recours à ce type de transport, dans le respect de la prescription médicale de transport et du libre choix du patient

pour son transporteur. »

 

La profession s’est donc engagée à développer les transports partagés et l’action de la FNAT privilégie une adaptation des textes plutôt qu’une abrogation utopique.

 

Notre action a déjà porté ses fruits puisque le Gouvernement a lui-même amendé l’article 30 pour autoriser les entreprises de taxi conventionnées à facturer les transports partagés à un prix supérieur à ceux qui sont fixés par les arrêtés préfectoraux. Pour le Gouvernement, « Cet amendement vise donc à faciliter la réalisation de transports partagés par les taxis conventionnés et permettre ainsi que les mesures incitatives portées par cet article leur soient applicables ».

 

Pour autant, la FNAT reste mobilisée dans ce dossier. Maintenant que le blocage tarifaire est levé, reste à négocier le remboursement des transports partagés avec la Caisse nationale, ce qui pourrait n’aboutir que pour les facturations à partir de 2025. De même, les modalités d’organisation de ces transports et leur articulation avec le principe de libre choix du patient, pour lesquelles nous avons demandé des garanties, restent à fixer. Dans l’étude d’impact qu’il a déposée concernant cette mesure, le gouvernement prévoit un « texte réglementaire qui définira les conditions nécessaires à la mise en œuvre d’un transport partagé, notamment les limites acceptables en termes de détour pour l’organisation des trajets communs et les conditions d’attente». A l’occasion de ce texte réglementaire (décret ou arrêté) d’application, nous espérons pouvoir négocier un encadrement de cette réforme, afin de préserver les droits du patient et le respect des règles de la concurrence.

 

Dans cet objectif, le président de la FNAT a adressé un courrier au ministre de la santé le 4 décembre 2023, afin que la profession soit associée aux décisions sur le transport de malades assis au niveau national et local, notamment en demandant une représentation des taxis au sein du Comité départemental de l’aide médicale urgente, de la permanence des soins et des transports sanitaires (CODAMUPS) des ARS. Le développement des transports partagés porté par l’article 30, semble reposer sur les plateformes de réservation afin de les organiser et permette d’améliorer l’utilisation du parc existant en optimisant l’affectation des trajets. La profession attend d’être associée aux modalités d'organisation de ces transports, afin de préserver les droits du patient et le respect des règles de la concurrence. En particulier, nous demandons que le référentiel commun sur l’organisation des transports sanitaires post-hospitaliers du 27 mai 2010 et le cahier des charges du 9 décembre 2015 mis en place par la Caisse nationale d’assurance maladie soient adaptés afin de préciser et cadrer les conditions d’application des transports partagés.

 

Face aux difficultés, la profession doit rester une force de proposition et, en responsabilité, nos entreprises doivent s'organiser pour travailler ensemble à la régulation des transports.

 

Au vu de ce qui précède, la Fédération Nationale des Artisans du Taxi n’appelle pas ses adhérents à manifester le lundi 11 décembre 2023.

 

Info - le 29/11/2023 

Exercice illégal de l'activité de taxi : la condamnation d'Uber est confirmée

 

La plate-forme de mise en relation entre clients et chauffeurs de VTC avait été condamnée pour complicité d’exercice illégal de l’activité de taxi. Cette condamnation vient d’être confirmée par la Cour de cassation.

 

Source : Cass. crim. 28 novembre 2023, n° 22-80577

 

Le privilège accordé aux chauffeurs de taxis

 

Les taxis sont les seuls chauffeurs de transport à pourvoir circuler et stationner sur la voie publique dans le but de trouver des clients (c. transports art. L. 3121-1 et 3121-11).

 

Tous les autres chauffeurs de transport ont l’obligation, entre deux courses, soit de regagner l’établissement qui exploite leur véhicule, soit de se rendre sur un lieu de stationnement autorisé, en dehors de la chaussée (c. transports art. L.3122-9).

 

Les chauffeurs de VTC ne sont pas des chauffeurs de taxis

 

Lorsqu’ils attendent une nouvelle réservation, un certain nombre de chauffeurs de VTC circulent et stationnent sur la voie publique comme seul un taxi a le droit de le faire.

 

Ainsi, entre les 25 mai 2014 et 8 avril 2015, 66 procès-verbaux ont été dressés à l'encontre de chauffeurs qui prenaient en charge des clients suite à des réservations préalables passées via la plateforme Uber, sans rentrer au lieu d'établissement entre deux courses. En agissant ainsi, un chauffeur de VTC commet nécessairement le délit d’exercice illégal de l’activité de taxi.

 

La plateforme de mise en relation est condamnée pénalement

 

À la suite des procès-verbaux dressés en 2014 et 2015, la société Uber, qui gère la plateforme numérique de mise en relation entre ces chauffeurs et leurs clients, a été poursuivie devant le tribunal correctionnel puis devant la cour d'appel de Paris.

 

La cour d’appel de Paris a considéré que la plateforme apportait une aide aux chauffeurs dans l’exercice de leur activité de transport. Elle a donc été condamnée pour s’être rendue complice de l’infraction d’exercice illégal de l’activité de taxi. La Cour de cassation vient de valider cette condamnation.

 

La société a été condamnée à 800 000 € d'amende dont 400 000 € avec sursis par les juges parisiens, cette condamnation sanctionnant également d’autres infractions, dont le délit de pratique commerciale trompeuse par promotion radiophonique du service, faussement présenté comme licite.

 

Info - le 24/11/2023 

Au vu des différentes communications et des différents appels à manifester émanant de certains taxis, il nous semble essentiel de revenir sur la loi.

 

Avenant tarifaire CNAM

 

Suite à plusieurs réunions interfédérales sur la revalorisation de nos tarifs conventionnels pour l’année 2024, aucun accord de négociation n’a été trouvé avec l’ensemble des fédérations.

 

L’augmentation des points d’indices 2024 de la consommation ne sont pas pris en compte par la CNAM.

 

La FNAT et la FNDT souhaitaient une revalorisation totale de nos tarifs en applications de nos arrêtés préfectoraux, le maintien des forfaits mis en place actuellement dans chacun de nos départements.

 

De son côté la FNTI a demandé une revalorisation partielle de nos tarifs (3%) et l’UNT été d’accord avec tout le monde….

 

Le libre choix du patient

 

L’article L1110-8 du code de la santé publique garantit le libre choix du patient lors de ses rendez-vous, celui-ci n’est pas remis en question.

 

Article 30

 

Nous tenons à rappeler que dans le cadre de la dernière convention avec la CNAM Nationale  toutes les fédérations et les entreprises (convention départementale) s’étaient engagées à proposer aux clients le transport partagé dans la mesure du possible.

 

Cette loi proposée par le gouvernement a été adoptée en première lecture par 49/3.

 

De fait, il est difficile de s’opposer à une loi qui préconise le transport partagé dans un principe d’économie et d’écologie afin permettre l’accès aux soins pour tous, dans le respect des droits de chacun.

 

Pour le recours aux plates-formes rien n’est actuellement cadré dans les textes, mais dans un principe d’efficience et de collaboration avec les établissements de santé (toutefois le gouvernement a annoncé un texte règlementaire à paraitre qui définira les conditions nécessaires à la mise en œuvre d’un transport partagé, notamment les limites acceptables en termes de détour pour l’organisation des trajets communs et les conditions d’attente. Nous allons devoir négocier cette application et il nous faudra être force de proposition.

 

Si aujourd’hui la profession refuse de s’intégrer au process, de fait il est certain qu’elle perdra la totalité ou une partie du marché du transport partagé.

 

Il nous parait improbable aujourd’hui qu’à travers la mobilisation des entreprises nous puissions faire plier le gouvernement sur ce texte.

 

Article 2 de la loi Grandguillaume 

 

Nous demandons le renforcement des contrôles des données des plateformes de TAXI et de VTC, à des fins statistiques et surtout de contrôles.

 

Nous demandons l’instauration d’un délai entre la commande et la prise en charge pour les professions du T3P, afin de mieux protéger la maraude.

 

Infos syndicales

Info - le 31/10/2023 

la Première ministre a engagé à l’Assemblée Nationale, lundi 30 octobre, la responsabilité de son gouvernement sur la partie dépenses et sur l'ensemble du projet de de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2024, en application de l’article 49 alinéa 3 de la Constitution.


Le texte sur lequel le Gouvernement a engagé sa responsabilité comprend l’article 30, lequel :


-  exclut l’application de la dispense d’avance des frais lorsque le patient refuse un transport partagé (avec un remboursement minoré) ;


- et autorise les entreprises de taxi conventionnées à facturer les transports partagés à un prix
supérieur à ceux fixés par l’arrêté préfectoral des tarifs.


Une motion de censure a été déposée par 78 députés, mais elle ne devrait pas obtenir la majorité. L’article
30 du projet de loi doit donc être considéré comme adopté.

 

Voir article 30 en application de l’article 49-3

 

Info - le 17/10/2023

Vous avez été nombreux aujourd'hui à me contacter, suite des différentes rumeurs circulant sur les réseaux.

 

Vous trouverez ci-dessous le communiqué commun FNAT et FNDT rétablissant la situation réelle actuelle, ainsi que le courrier adressé au Directeur de l’UNCAM et nos propositions d’amendements du Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale pour 2024.


Ces propositions sont faites après concertation des deux fédérations pour essayer d’apporter une solution aux difficultés rencontrées.

 

Communiqué commun FNAT et FNDT

 

Courrier UNCAM

 

Info - le 15/05/2023 Obligation vaccinale

Nous vous informons que, conformément aux recommandations de la Haute Autorité de Santé du 29 mars 2023, le Décret n° 2023-368 du 13 mai 2023 suspend l'obligation de vaccination contre la covid-19 des professionnels travaillant en milieu hospitalier, notamment les conducteurs de taxis conventionnés.


La Haute Autorité de Santé préconisait plus précisément de rétrograder cette obligation vaccinale au niveau d’une recommandation forte, en insistant sur le fait que « la levée d’une obligation vaccinale pour les professionnels ne remet pas en question l’intérêt de cette vaccination, que ce soit en milieu professionnel ou en population générale ».

 

Info - le 11/05/2023 Tarifs CPAM

Ce mercredi 10 mai a eu lieu la réunion concernant la revalorisation des tarifs.

 

La caisse de l’Isère nous affirme que les transports effectués par les taxis lyonnais ont été extraits pour le calcul de révision de la remise. Le chiffre exact nous a été promis pour le mois de juin.

 

Avec effet rétroactif, dans la mesure où ils n’ont pas été encore transmis, les transports réalisés postérieurement au 1er mars 2023 pourront être facturés comme suit :

 

Aux tarifs A/B, taux de remise de désindexation 4,69% et remise conventionnelle 11,25%, soit une remise globale de 15,41%

 

Aux tarifs C/D, taux de remise de désindexation 4,69% et remise conventionnelle 12,25%, soit une remise globale de 16,37%

 

Le minimum facturé sera fixé pour cette année à 22,80 € soit 19 € remisé.

 

Ces dispositions prendront effet au jour de la signature prévu le 15 mai 2023.

 

Vous serez tenus informés par mail.

 

Info - le 28/04/2023 Dispositif d'indemnisation de la perte d'activité (DIPA)

Dans un arrêt du 30 mars 2023, le Conseil d’Etat a annulé une décision de la Caisse Nationale d’Assurance
Maladie datant de janvier 2021 refusant d’appliquer la formule de calcul de l’aide accordée aux exploitants
de taxi dans le cadre du Dispositif d’Indemnisation de la Perte d’Activité (DIPA), laquelle formule était fixée
par le VI de l'article 2 du décret n° 2020-1807du 30 décembre 2020.


Courant 2020, estimant cette formule manifestement erronée, la Caisse nationale avait en effet diffusé des
instructions préconisant d’appliquer une autre modalité de calcul, conduisant ainsi à un montant d'aide
inférieur.


La FNDT, à l’origine de cette procédure, appelle aujourd’hui sur les réseaux sociaux toutes les entreprises
de taxi de France à saisir la Commission de recours amiable de leur CPAM dans le délai de deux mois à
partir de la date de l’arrêt du Conseil d’Etat, soit jusqu’au 30 mai 2023, afin de récupérer la totalité de l’aide
prévue par le décret du 30 décembre 2020.


Toutefois, la situation n’est pas aussi claire :

 

1°) Le Conseil d’Etat précise que sa décision « n'implique pas nécessairement que la Caisse
nationale de l'assurance maladie prenne un acte pour indiquer qu'il doit être fait application aux exploitants
de taxis d'une formule de calcul conforme au décret du 30 décembre 2020 » et qu’ « il n'y a, dès lors, pas
lieu de faire droit aux conclusions à fin d'injonction présentées par les requérants. »
La deuxième requête de la FNDT visant à « enjoindre à la Caisse nationale de l'assurance maladie d'adopter
la formule de calcul telle qu'issue du VI de l'article 2 du décret du 30 décembre 2020 avant sa modification
par le décret n° 2022-568 du 15 avril 2022 » est donc rejetée.

 

2°) La formule de calcul du décret du 30 décembre 2020 a en effet, depuis, été modifiée par
l’article 1er du décret n° 2022-568 du 15 avril 2022, lequel reprend les instructions diffusées par la Caisse
nationale.


Ces deux points amènent à douter sérieusement de la portée de cet arrêt rendu par le Conseil d’Etat. En
conséquence, la FNAT, avec d’autres fédérations nationales, a saisi la Caisse nationale afin de connaître les
suites qu’elle entend donner à cette décision.


La situation est d’autant plus difficile à évaluer que nous ignorons le nombre d’entreprises concernées par
cette revendication. En 2021, la FNAT n’avait pas eu de remontées sur cette difficulté d’application de la
formule de calcul. Elle a cependant signé un courrier commun avec l’UNT, la FNTI et l’UNIT afin que la
Caisse nationale nous confirme les modalités de cette indemnité.

Lors de notre Assemblée Générale qui s’est déroulée à La Roche-sur-Yon (Vendée) les 9 et 10 octobre
2021, le sujet a été abordé et il a été décidé d’inviter les entreprises visées par une demande de récupération
du trop-perçu à vérifier les calculs de l’Assurance Maladie, de se rapprocher de la CPAM afin de rectifier
les éventuelles erreurs et de remonter à la FNAT les éventuelles difficultés d’application de la formule
retenue par le décret de décembre 2020. Nous n’avons pas eu de signalement.


Dans ces conditions, il est difficile de donner une consigne. Chaque entreprise reste libre
d’engager un recours devant la Commission de recours amiable.


La FNAT continuera cependant de suivre ce dossier et je ne manquerai pas de vous informer des suites
qui y seront données, notamment par la Caisse nationale.

Info - le 23/03/2023 Info VTC ville de Grenoble

En conséquence de l’inaction de la police nationale, les VTC viennent stationner en attendant une course sans justifier d’une commande préalable et créent le désordre.

 

Actuellement, le dispositif législatif ne permet pas aux agents municipaux d'intervenir, pour qu’il le puisse, nous demandons un arrêté du maire. Le fait de rappeler la loi dans un arrêté, va permettre effectivement aux forces municipales d'intervenir.

 

Nous sommes en désaccord avec le service juridique de la ville qui juge cet arrêté illégal. Nous avons fait remonter cette opposition au ministère afin qu'il tranche.

 

Veuillez prendre connaissance du compte rendu des services de la ville :

 

RENCONTRE

SYNDICAT TAXIS CSTG SATIS / VILLE DE GRENOBLE

27/02/2023 - Relevé de conclusions

 

Étaient présents :

  • Maud TAVEL – Adjointe au Maire en charge de la tranquillité publique
  • Maxence ALLOTO– Adjoint au Maire en charge de l’économie locale
  • Gilles NAMUR –Adjoint au Maire en charge des mobilités et circulations
  • Marc BAUDIES– Chambre Syndicale des Taxis Grenoblois
  • Jean GALVIN - Chambre Syndicale des Taxis Grenoblois
  • Denis PONCET - Chambre Syndicale des Taxis Grenoblois
  • Sybille VERNHES– Service juridique, Ville de Grenoble
  • Norbert CARIOU– Direction Prévention et gestion des risques, Ville de Grenoble
  • Olivier CURTO – Service Circulation Réseaux Lumière, Ville de Grenoble
  • Hélène FOUCHER– Service Circulation Réseaux Lumière, Ville de Grenoble
  • Yannick PIRAUD- Service Circulation Réseaux Lumière, Ville de Grenoble

 

Éléments de contexte :

 

Les représentants des taxis ont sollicité les services de la Ville sur deux sujets relatifs aux VTC :

  • La prise d’un arrêté municipal interdisant les VTC
  • Le contrôle des VTC par les agents de la police municipale

 

A cette suite, les élus et les services de la Ville ont transmis les éléments suivants:

 

Sur le contrôle PM :

  • Le Maire n'est pas compétent pour contrôler et sanctionner l'activité des VTC. Cela relève du préfet et de ses services de police nationale ;
  • La compétence des policiers municipaux relève des infractions au code de la route en matière de stationnement (trottoir, passage piéton, emplacements réservés type station de taxi).
  • S’il n’y a pas le constat d’un stationnement irrégulier, la PM n'a pas le motif pour déclencher une opération de contrôle du VTC.

 

Sur la prise d'un arrêté municipal interdisant les VTC :

  • Interdire strictement par voie d'arrêté municipal aux VTC de stationner sur le domaine public au motif que c'est un VTC est illégal, porte atteinte au principe constitutionnel de la libre-entreprise et ne relève pas de la compétence du Maire ;
  • Prendre un arrêté municipal qui dit strictement ce que dit la loi serait a minima inutile mais surtout illégal, considérant que le contrôle relève de la compétence de l’État

Focus sur l’analyse juridique relative à la réglementation applicable aux VTC :

  • Un VTC ne peut prendre en charge un client sur le domaine public que si son conducteur peut justifier d’une réservation préalable du client. La prise en charge immédiate sur la voie publique est interdite aux VTC

=> la maraude est bien réservée aux Taxis.

  • Dès l’achèvement de la prestation commandée, le VTC est tenu de retourner au lieu d’établissement de l’exploitant de cette voiture ou dans un lieu, hors de la chaussée.
  • Une dérogation : le VTC peut stationner aux abords d'une gare dans l’attente du client ayant réservé, pour une durée d’une heure maximum avant la prise en charge effective.

=> Le motif du contrôle est donc de vérifier si le VTC qui stationne sur le domaine public a bien une réservation préalable d'un client ou s'il pratique illégalement la maraude.

=> L’objet du contrôle est bien la régularité de l’activité ce qui relève des services de police nationale

Le syndicat des taxis précise qu’il n’a pas la même lecture juridique que la Ville, considérant la prise d’arrêtés municipaux dans d’autres communes comme Alixan, et les communes aux abords de l’aéroport Roissy-Charles de Gaule, territoire sur lesquels la police municipale contrôlerait et sanctionnerait les activités irrégulières des VTC.

 

Le syndicat ajoute que la situation n’est plus tenable pour les taxis au regard des pratiques des VTC observées au abord de la gare particulièrement :

  • Chargement et déchargement sur les stations de taxis
  • Stationnement, dans l’attente de courses, aux abords de la gare SNCF sous l’Estacade (point de rassemblement identifié par les représentants des taxis), Europole

 

Également, certaines stations sont sur-occupées de façon récurrente :

  • Parc Paul Mistral / contre-allée Clémenceau : lors des soirs de match et évènements festifs
  • Gustave Rivet (angle stalingrad) : lors des pauses méridiennes et soirs (station24h/24)
    • Reprise des signalisations verticales et horizontales réglementaires ;

 

D’une façon générale, le syndicatsollicite le renforcement des contrôles de police au même titre que ceux qu’ils observent sur les stationnements réservés PMR.

 

Rappel des engagements pris par la Ville et moyens déjà déployés pour y répondre :

 

Moyens techniques :

  • Installation de panneaux de communication « pas taxi, rien à faire ici »
  • Implantation de la barrière de la gare
  • Installation de vidéo-verbalisation (République)

 

Moyens humains :

  • Verbalisation police municipale sur les zones taxis
    • 2021 : 1034
    • 2022 : 1286
    • Janvier 2023 : 114
    • Février 2023 : 94
    • Analyse des moyens à disposition du Maire pour contrôler et sanctionner les activités irrégulières types VTC

 

Suites à donner : engagements syndicat/ville de Grenoble dans la poursuite d’une action commune de lutte contre les pratiques irrégulières de transports de voyageur

 

Ville de Grenoble :

  • Sollicitation du préfet pour une action conjointe avec la police nationale (via la direction départementale de la sécurité publique)
  • Renforcement des contrôles sur les stations de taxis, en priorité :
    • Grand place ;
    • Parc Paul Mistral – boulevard Clémenceau (revoir l’opportunité du miroir) ;
    • Parc Paul Mistral – boulevard Maréchal Joffre ;
    • Albert Reynier(marquage à revoir par ailleurs) ;
    • Jaurès – rue Alphonse Terray ;
    • Europole – rue de la Frise ;


 

  • Renforcement l’information réglementaire auprès des agents PM (ex port de la ceinture) ;
  • Sensibilisation des agents PM aux situations de stationnement difficiles pendant une course (ex : lors des déposes aux abords des groupes médicaux sans aire de livraison disponible en immédiate proximité ce qui nécessite un arrêt irrégulier (chaussée, piste cyclable) ponctuel ;

 

Taxis :

  • Mise en œuvre d’une action auprès du ministère via la fédération

Prochaine point d’étape: mai (date à définir)

 

Info - le 18/03/2023 Négociation CPAM

Mercredi 01 mars a eu lieu la commission CPAM afin d’établir les tarifs tiers payant.

 

2023 doit être l’année de la récolte du fruit de nos efforts.

 

Dans un premier temps, dès la remise à jour des compteurs, l’augmentation annuelle de 4% est pleinement applicable, puisque la remise de désindexation n’annule qu’une partie des augmentations précédentes. Nos interlocuteurs voulaient réévaluer cette remise, sous prétexte que le prix du kilomètre a évolué de plus de 4 %. Ce qui est vrai, mais ce mode de calcul n’est pas conforme au protocole quinquennal, ni à notre réglementation tarifaire.

 

Dans un second temps, de 2018 à 2022, notre taux d’évolution des dépenses en Isère est de 1,2 %, ce qui nous permet d’obtenir pour 2023 une baisse du taux de remise conventionnelle de 0,75 point. La caisse s’accorde à nous attribuer cette remise, mais nous estimons nous faire plomber les chiffres par les taxis du Rhône qui viennent piller le marché des taxis du Nord Isère. La caisse nous assure que le volume a été extrait par la CNAM, ce que nous remettons en question. Nous exigeons les chiffres réalisés par les taxis du Rhône et pensons avoir réalisé une économie plus conséquente. Ce qui permettrait de bénéficier d’une remise de 1,25 point au lieu de 0,75 point.

 

Depuis trop longtemps les taxis du Rhône nous siphonnent le travail. Malgré notre grogne, toute ces années, rien ne se passe… Je pense avoir trouver une solution qu’il va falloir faire admettre à la caisse.

 

Pour finir, notre minimum de course dans le cadre du tiers payant ne permet plus de répondre aux besoins des assurés. Ma requête de revalorisation de celle-ci n’a pas été encore validé, mais une réflexion est en cours.

 

En 2023, il est impératif que les assurés soit transportés sans exceptions (minimum de course et requête spéciale pour l’approche des véhicules PMR) et que les taxis retrouvent l’intérêt à satisfaire tous les types de transport.

 

Ces trois points exposés, nous n’avons pu être en accord et la réunion a été reporté. 

 

Jeudi 16 mars, pour le premier point les représentants de notre caisse se sont rendu à l’évidence et ont convenu de ne pas augmenter la remise de désindexation.

 

Pour le second point, on n’a pas pu nous présenter les chiffres et le mode d’extraction du volume des taxis lyonnais.

 

Pour le dernier point, notre interlocuteur n’a pas été mandaté pour renégocier le minimum, par conséquent, j’ai tout simplement demandé que Madame CARDINALE, Directrice de la CPAM de l’Isère, redescende de sa tour d’ivoire, et ai insisté sur l’établissement d’un consensus pour les négociations tarifaires 2023, afin que j’appose ma signature, l’essentiel étant d’établir des bases saines.

 

Nous restons dans l’attente d’une nouvelle rencontre.,

Info - le 01/02/2023 Arrêté des prix 2023

Pour donner suite à notre requête, les services de la DDPP ont voulu connaitre la représentativité des organisations professionnelles. 

Les chiffres officiels publiés par la préfecture et extrait du dernier rapport T3P 2020, sont :

 

180 adhérents pour le SATIS

54 pour la FTI 38

46 adhérents (non validé par expertise comptable) pour l’USTI

 

Les services de la DDPP ont sur-le-champ proposé cette alternative :

 

P.CH :       2,80 €

KM au A :   1,14 €

H.A :         31,30 €      

 

Le SATIS et la FTI 38 ont approuvé immédiatement cette médiation. 

 

L’arrêté a été transmis à la signature pour monsieur le préfet, sans attendre la validation du syndicat minoritaire qui a finalement accepté en dernier ressort.

 

Nous ne pouvons que saluer l’arbitrage des services de la DDPP, vis-à-vis de cet affligeant défaut de cohésion de la profession.

 

Il était très important d’optimiser l’augmentation sur le kilomètre, puisque comme prévu dans notre protocole quinquennal de 2019, l’augmentation des tarifs 2023 sera intégralement répercutée sur les transports CPAM, dès la mise à jour des compteurs. La remise de désindexation diminuera aussi en fonction de nos résultats 2022, selon un calcul que l’on vous transmettra.

 

Dans le cadre du tiers payant, le SATIS s’efforcera de revaloriser le minimum de course actuel de 14 € à 25 €, afin de satisfaire aux besoins des assurés qui ne sont plus servis pour les petits transports.

 

Monsieur le préfet a signé l’arrêté des prix, avec le supplément augmenté à 3 € par personnes à partir de 5 à 8 passagers, le prix pour les bagages et le minimum de course reste inchangé.

 

Nous vous tiendrons informés dès que les valises seront prêtes chez les installateurs et lançons la production des affichettes.

Info - le 25 janvier 2023 - Requête tarifs

Voici la requête adressée au service de la DDPP :

 

Notre organisation, le SATIS, représentant plus de 40% des entreprises du département, s'étonne de la proposition envisagée pour mise à la signature de Monsieur le Préfet, puisque tenant compte du soutien de la FTI 38, celle-ci ne se conforme pas à la majorité.

 

Monsieur GUILLOT ne représente qu'une infime minorité et légalement ne devrait siéger dans aucune instance. De surcroît il ne fait même plus partie de la profession. Nous ne pouvons pas le laisser torpiller nos entreprises de la sorte.

 

Nous, taxis, avons à supporter le coût du carburant en particulier et l'augmentation des charges de manières générales. 

 

La conjoncture actuelle ne nous permettant pas de diluer l’augmentation sur la prise en charge et l’horo-arrêt, composantes non concernées par le coût de l’énergie, nous ne pouvons pas accepter une répartition n'optimisant pas le kilomètre, seul poste lié à la consommation de carburant, projet que vous-même avez soumis à validation qui a été récusé par monsieur GUILLOT.

 

Je vous saurais gré de l'attention que vous porterez à ma requête.

Info - le 23 janvier 2023 - Tarifs suite

SANS COMMENTAIRES !!!

 

Voici pour info, le mail de notre interlocuteur à la DDPP en réponse à la revalorisation de nos tarifs.

 

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Messieurs DUTRIAUX, GALVIN et GUILLOT,

Comme chaque année, la direction départementale de la protection des populations de l'Isère (DDPP) vous a consulté pour recueillir vos propositions d'évolution tarifaire des courses de taxi au titre de l'année 2023.  
Le taux d'augmentation maximum défini par l'Arrêté Ministériel paru le 20 janvier 2023 est fixé à 4 %.
 

Une application poste par poste de la norme d'évolution maximale prévue donnerait les chiffres repris ci- dessous.

Prise en charge :             2,92 €
Tarif kilométrique A :    1,12 €
Tarif horaire (€/h) :        31,50 €

Messieurs GALVIN et DUTRIAUX respectivement pour la FNAT et la FTI38 proposent :

Prise en charge :             2,80 €
Tarif kilométrique A :    1,15 €
Tarif horaire (€/h) :        30,60 €

Monsieur GUILLOT pour l'USTI propose quant à lui :

Prise en charge :             2,90 €
Tarif kilométrique A :    1,12 €
Tarif horaire (€/h) :        31,70 €

Compte tenu de l'absence de consensus, il revient à la DDPP de fixer les tarifs des différents éléments permettant de calculer le montant de la course type.

Pour tenir compte des propositions de chacun, tout en rééquilibrant le taux d'évolution des postes KM et Attente, la DDPP proposera à la signature de Monsieur le Préfet un arrêté avec les éléments suivants :

Prise en charge :             2,80 €
Tarif kilométrique A :    1,13 €
Tarif horaire (€/h) :        32,00 €

J'appelle votre attention sur le fait que le poste prise en charge n'a pas été revalorisé depuis 2019. Cet élément devra impérativement être pris en considération lors de la prochaine fixation des tarifs 2024, avec une revalorisation substantielle.
 

Je vous prie d'agréer, Messieurs, l'assurance de mes salutations distinguées.

 

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ET pourtant notre interlocuteur n'était pas réfractaire à la proposition, mais attendait une unité.

 

Il suffisait simplement que monsieur GUILLOT revienne de sa proposition et valide la nôtre....

 

Info - le 20 janvier 2023 - Tarifs 

L’arrêté d’actualisation des tarifs pour 2023 est paru au journal officiel et les négociations locales ont eu lieu lundi.

 

Nous regrettons de ne pas être en mesure de vous annoncer les tarifs arrêtés pour notre département, un syndicat ayant fait une proposition défavorable pour notre profession, de l’ordre de deux milliers d’euros pour un CA moyen annuel, semble ralentir la validation de notre proposition, nous vous tiendrons informés dès que la situation sera débloquée, bien heureusement le syndicat du nord Isère est en total accord avec nous.

 

Bercy a cherché à nous imposer une simple hausse de 2% en s’appuyant sur des critères de calcul erronés.

 

En application de l’article 3 du décret n° 2015-1252 du 7 octobre 2015 relatif aux tarifs des courses de taxi, le ministère de l’économie augmente chaque année le tarif de la course de référence en fonction de la variation du prix des carburants, des frais de réparation et d’entretien automobiles, du tarif des assurances et du prix des véhicules de l’année précédente. La DGCCRF a appliqué sur ces postes des taux de modération, notamment sur le carburant, qui ne correspondent pas aux charges réellement supportées par nos entreprises.

 

Après de nombreuses semaines de négociations difficiles, l’augmentation des tarifs est finalement fixée à 4%, à laquelle s’ajoute l’avance de 3,5 % déjà obtenue en mars dernier, soit une revalorisation totale de 7,5%sur 12 mois. Pour comparaison, l’inflation était de 6,20 % en novembre 2022. D’après les derniers chiffres de l’INSEE, elle a atteint 5,2 % en moyenne en 2022.

 

Nous avons également obtenu la revalorisation du supplément 5ème passager, lequel passe de 2,50 € à 3 €.

Un groupe de travail va être mis en place afin de revoir la méthode de calcul de la revalorisation des tarifs et prendre en considération la réalité des coûts liés à notre activité.

Info - le 11 janvier 2023 -Convention collective

Dans le cadre de la convention collective nationale des taxis les partenaires sociaux, dont la FNAT, ont signé trois nouveaux accords en décembre, lesquels vont s’appliquer dans toutes les entreprises immatriculées sous un code d’activité 4932Z.

 

Le premier concerne la grille des salaires des personnels roulants. Cet accord a été transmis au ministère du travail et nous attendons actuellement la publication de son arrêté d’extension au journal officiel.

 

Il est à noter que le Smic a été revalorisé de 1,81 % au 1er janvier 2023 et que les rémunérations prévues pour l’échelon 1 sont devenues obsolètes (le tableau en pièce jointe tient compte en rouge du nouveau montant du Smic).

 

Le deuxième établit la classification des personnels non roulants.

 

Enfin, le troisième prévoit de collecter auprès de toutes les entreprises de la branche la contribution de 0,15 % du montant de la masse salariale destinée à assurer le financement du dialogue social. Avant cet accord, seules les entreprises de moins de 11 salariés étaient redevables de cette contribution et, pour des raisons d’équité, les partenaires sociaux ont décidé de l’étendre à l’ensemble des employeurs.

VTC INFO le 08/01/2023

Nous sommes dans l'attente d'une prise de position de monsieur le Maire, Éric PIOLLE, afin de faire cesser le désordre créé par les chauffeurs de VTC aux abords de la gare.

 

En effet, pour donner suite à notre dernier entretien, une réunion doit être organisée en présence de madame Maud TAVEL, en charge des pouvoirs de police, à qui nous demandons de se prononcer définitivement sur la position du maire à ce sujet, de monsieur Jérôme LAMAIN, directeur de la police municipale, l’exécutant en matière de police qui apparait jusqu’à ce jour comme le décideur, et enfin de monsieur Gilles NAMUR, deuxième adjoint, coordinateur du mouvement.

 

Certains chauffeurs sont entrés en contact avec madame Hélène FOUCHER, secrétaire de mairie du bureau des taxis. Bien que notre situation soit insupportable et qu’il est difficile de ne pas réagir face au non-respect des lois, ce désarroi ne doit pas se répercuter sur le personnel administratif de la mairie, ni engendrer des débordements sur la voie publique afin de stopper ces atteintes. Pour cela, nous vous demandons de faire confiance à vos responsables syndicaux.

 

La chambre syndicale des taxis grenoblois.

INFO du 03/01/2022

Nous restons toujours dans l'attente d'une nouvelle concertation pour les tarifs 2023, laquelle devait avoir lieu fin de semaine dernière. A suivre...

Un nouveau décret est publié ce mardi 03/01/2023. Il prévoit le rehaussement des aides à l'achat d'un véhicule PMR :

- de 16 500 € à 22 000 € pour les véhicule zéro émission.

- de 9 500 € à 15 000 € pour les véhicules Crit' Air 1

le 26 décembre 2023 décret augmentation 2023

Bonjour à tous,

 

Les échanges avec les services de la DGCCRF pour l’augmentation des tarifs 2023 ont eu lieu. 

 

L’augmentation des tarifs de 2% prononcée n’est pas acceptable ! 

 

Ce vendredi 23 décembre, nous avons pu faire bloquer le décret.  

 

Une réunion devrait avoir lieu courant de la semaine, avant la nouvelle année, pour une nouvelle proposition que nous espérons bien plus raisonnable.

 

Nous vous tiendrons bien sûr informés.

 

Bonnes fêtes à tous,
 

Jean GALVIN

 

Président du Syndicat des Artisans Taxi Isère Sud

Info détaxe du carburant

Chers collègues,

Au sujet de la demande ou l'avance exceptionnelle de détaxe pour l'exercice 2021, il reste encore beaucoup de dossier non-traité dû à un manque d'effectif des douanes en Isère. 

 

Voici le tableau de la détaxe pour la consommation de carburant 2022 qui a été publié au bulletin officiel des douanes. Pour le gazole, la détaxe est de 30,28 € par hectolitre pour la région Auvergne-Rhône-Alpes.

 

Le Gouvernement a accepté, dès le mois d’avril 2022, de verser une avance sur le remboursement partiel de TICPE au titre des consommations de l’année 2022. Cette avance s’est élevée à 25% du montant remboursé au titre des consommations de l’année 2021.

 

Sur leur site, les Douanes précisent qu’à partir du 1er janvier 2023 et jusqu’au 31 décembre 2023, leurs services procéderont à la régularisation de cette avance.

 

À l’issue du traitement de la demande déposée au titre de l’année 2022, l’entreprise recevra la différence entre le montant éligible et l’avance qu’elle a perçue.

 

Si l’avance est supérieure au montant dont elle doit bénéficier au titre de ses consommations de l’année 2022, l’entreprise devra reverser le trop-perçu.

 

Enfin, à défaut d’une demande déposée avant le 31 décembre 2023, l’entreprise sera tenue de reverser l’intégralité de l’avance perçue en 2022.

 

Les adhérents devront utiliser le formulaire cerfa 15991*02 qui permet de déclarer leur consommation.

 

Cordialement, 

 

Jean GALVIN

 

Président du Syndicat des Artisans Taxi Isère Sud

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